Ce dimanche j’ai eu l’occasion de manifester pour rappeler que le nucléaire n’est pas une solution.
Le 11 mars une date anniversaire qui n’a pas de sens, où l’erreur de l’homme est clairement montré du doigt. Lorsque les éléments se déchainent le nucléaire et ses installations semblent bien faibles!
Aujourd’hui, alors que deux catastrophes nous ont touchées les 30 dernières années, des centrales qui vieillissent, des déchets nucléaires transportés par-ci, par-là avec les risques d’un accident durant son transfert sont bien réels. Pourtant, rien n’a changé, d’un côté des lobbyistes qui défendent que la production via le nucléaire est nécessaire et indispensable, de l’autre les alternatives se créées timidement et ont déjà montrées leurs efficacités.
En Belgique ce ne sont pas moins de trois réacteurs qui posent questions (Tihange 1 le plus ancien, Tihange 2 et Doel 3) qui sont prolongés malgré les 40 ans de l’un et les réparations de fissures sur les autres. Cette responsabilisation du Gouvernement fédéral, n’est qu’un acte de négligence, sans oublier le fait d’avoir fermer les yeux sur l’audition internationale qui a émis des doutes au redémarrage.
En cas d’accident, la responsabilité de l’Etat et des producteur seront clairement montrés du doigt, la sortie du nucléaire est une nécessité vu sa gestion nébuleuse. La transparence est de mise au niveau européen également, le nucléaire n’a pas de frontière.
Pendant ce temps l’Etat belge autorise la présence d’armes nucléaires sur notre sol (Kleine Brogel), une volonté étrange alors que notre pays n’autorise pas le nucléaire à des fins militaires, étrange raisonnement.
Donc oui pour un arrêt progressif, continuer à repenser et facilité l’accès aux énergies renouvelables pour les particulier, donner de l’espace pour les producteurs de manière cohérente, transparente, avec les citoyens !