C’était le 29 mai 2012, étonnante rencontre entre l’Echevine Karine Lalieux (PS) et les habitants du quartier.

Neder-Over-Heembeek, De Wand connaissent bien entendu une montée démographique, tout comme dans toute la commune et la Région de Bruxelles-Capitale. La propreté fait partie des priorités publique et sa gestion dépend avant tout du bon vouloir des citoyens.

Fort de constater les soucis de poubelles, dépôt clandestin et contrôle, gestion des déchets de Versailles. Je me pose la question sur la responsabilisation des habitants sans stigmatiser. Juste interpeller les signaux que les politiques, Bruxelles-Propreté et les gestionnaires de logements doivent donner.

Revenir à un modèle de prévention n’est qu’un outil au service de la population. Oser, proposer des démarches citoyennes est un objectif différents.

La journée propreté c’est 365 jours par an, il en va d’un équilibre essentiel pour nos espaces de vie commune. La propreté ne s’arrête pas à son trottoir, cela passe également par une cogestion des espaces publics tels que les parcs, sentiers, plaines de jeux.

La lutte contre la saleté et la sanction, c’est en effet plus facile de placer l’amende comme première réponse. Est-elle efficace? Je ne pense pas que c’est la mesure la plus pertinente. Amener une pédagogie, une autre manière de sanctionner par la participation à la réparation des actes, voilà une idée. Certes c’est plus difficile à mettre en place mais pas impossible.

Le tri reste très compliqué soit car les habitants ne possèdent pas toujours de l’espace nécessaire, soit l’information n’est pas claire ou assez connue.

Une écologie sans se prendre la tête ! Difficile de ne pas en parler. Notre modèle est en pleine évolution et des démarches existent déjà. Sur Neder-Over-Heembeek comment ne pas parler du compost de quartier rue du Pâturage. Un terrain, des contacts, un emplacement touchant un maximum d’habitants.

La question de la sécurité et les déchets reste un élément clé. En effet continuer à embellir notre quartier constituera encore ce sentiment de sécurité et de qualité de vie.

C’est parti, pour le débat !

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