Vers le site de la candidature

Nos grands-parents nous disent que …

Bruxelles a changé, qu’avant il y avait des champs, nous pouvions nous balader sur la Place de Brouckère, qu’il y avait moins de voitures, nos parcs étaient des lieux où les familles se retrouvaient, …

Par contre ce qu’ils ne disent pas actuellement ou peu, Bruxelles est vert, jamais autant de vision durable n’ont été mise sur la table. Il y a des nouvelles dynamiques, collectivités de quartier, Intervision entre commune pour créer des maillages verts. Pourtant la construction verte n’a jamais été aussi soutenue qu’actuellement, la question des emplois issus de tous les domaines verts est en croissance.

Pourtant c’est là une des réalités qui depuis une dizaine d’année se construit.  Jamais nous avons autant entendu parler qu’il est temps de faire des économies dans les énergies des bâtiments, logements. La population a du mal à se retrouver dans des transports en commun dont l’offre à fortement augmenté même si certains quartiers sont encore laissé à l’abandon.

Si je soutiens la candidature de Bruxelles, capitale européenne en 2015 c’est car notre ville, région a réussi à rapidement se mettre en chantier et utiliser les nouvelles technologies pour permettre une meilleure qualité à ses habitants.

La vision du durable est certainement dans un mouvement d’acquisition des habitants et de plusieurs entreprises publiques comme privées dans notre capitale.

Ma vision d’une capitale verte :

  • Le cadre éducatif

Il n’y a pas que les enfants ou les jeunes qui sont touché dans ce cadre.  Chacun peut réaliser une éducation vers une vision verte.  La production d’atelier participatif intergénérationnel dans les quartiers où l’on mélange les acquis, les idées est une idée clé. Elle permet à chacun de s’investir et d’intégrer rapidement des pratiques du quotidien et d’échanger de bonnes pratiques.

Bien entendu les écoles, les associations de jeunesse et les maisons de jeunes/quartiers ont un rôle de premières lignes sur la propagation de gestes simples du quotidien que ce soit dans le tri des déchets, l’utilisation de l’énergie et de la mobilité pour les jeunes.

A côté de cela, les familles peuvent aussi contribuer à ce phénomène en réduisant la mobilité polluante par une mobilité douce tel que la marche, vélo et transports en commun.

  • Le cadre économique

Notre capitale est en permanente mutation le domaine de la construction est souvent montré en premier exemple dans le développement de bâtiment passif, construction où l’on réutilise les énergies.

Bien entendu cela a un coût qui est souvent peu abordable pour le particulier pour le domaine de la construction.

Par contre l’utilisation et la participation à des circuits courts tel que l’agriculture urbaine, l’échange de vieux produits dont nous n’avons plus besoin, la participation à une banque locale et juste, l’achat de produits locaux où à échelle nationale, … permet un cadre économique plus sûr et respectant l’environnement et entre dans un cadre légal du travail juste.

  • Le cadre environnemental

L’usage de l’énergie est certainement le point fort de ce cadre : la gestion de l’eau, des déchets, le bruit, la qualité de l’air,…

Notre capitale a une capacité de parc, bois et forêt assez imposant par rapport à d’autres capitales dans le monde. Ceux-ci ne peuvent qu’améliorer une qualité de vie mais ce n’est pas suffisant. Nos déplacements en voiture sont bien entendus montrés du doigt par l’émission des CO. Notre responsabilité est d’appliquer de nouvelles idées tel que la question du parking en dehors de la ville, l’utilisation des transports en commun voir une mobilité saine tel que la marche ou le vélo. Notre capitale a encore beaucoup à faire dans ce domaine qui permettra également être attentive à l’équilibre des acteurs économiques.

Chez soi c’est également possible, qu’on soit en appartement ou avec jardin nous pouvons à petite échelle produire des légumes, au travail participer à des paniers de légumes locaux. Réfléchir à investir dans des technologies permettant de diminuer la consommation d’eau, réduire les nuisances d’ondes et faire du tri une habitude.

Mon adhésion au projet de capitale verte a tout son sens, qu’on soit politique, citoyen, entreprise privée ou publique, institution, nous pouvons en 2015 participer et être au centre de l’Europe verte.

Etre la capitale verte c’est également un tremplin d’échange avec d’autres villes européennes qui sont précurseurs et ont déjà acquis toutes une vision globale verte.

Plus d’infos : http://www.villedurable.be/brusselsgreencapital

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